Les Québécois et le romantisme en 2014

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Être romantique en 2014 signifie-t-il encore quelque chose ? Le site de rencontre québécois EliteSingles a réalisé une étude auprès de 680 célibataires afin de d’en savoir plus quant à leur vision du romantisme.

Les femmes sont les plus romantiques

Cette étude permet de comprendre en quoi les Québécois sont de grands romantiques. En effet, parmi les célibataires interrogés, une grande majorité (92 %) se revendique romantique. Mais ce sont bien les femmes qui décrochent la palme ! Hommes et femmes le disent : « les femmes sont plus romantiques que les hommes » (78 %). Selon eux, être romantique est d’abord le meilleur moyen de montrer son attachement (87 %) et est indispensable pour construire une belle histoire d’amour (69 %).

À la question, « à quel moment de la relation faites-vous le plus preuve de romantisme ? » Plus de 8 célibataires interrogés sur 10 répondent: « Une fois en couple, pour faire plaisir à mon ou à ma partenaire » ; à noter que 14 % des hommes préféreront être romantique lorsqu’ils sont célibataires et qu’ils cherchent à séduire (contre 6 % des femmes). Seul 1 % des répondants affirme être romantique uniquement avant une nuit à deux.

Que signifie « être romantique » pour les québécois en 2014 ?

Pour en avoir une idée plus concrète, le site de rencontre EliteSingles a demandé aux célibataires membres de son site de réaliser un top 3 du meilleur comme du pire du romantisme. Pour le meilleur, les hommes et les femmes sont sur la même longueur d’onde :

  • Ils et elles adorent particulièrement le post-il attentionné laissé sur le frigo (97 %)
  • Une grande majorité craque pour une personne qui aura décidé d’éteindre téléphone intelligent et tablette pour passer une soirée rien qu’à deux (95 %)
  • Enfin, le diner entièrement préparé par leur partenaire fait aussi son effet (94 %)

Le pire du romantisme : ce qu’il faut à tout prix éviter pour conquérir le cœur d’un(e) québécois(e) !

Le pire du romantisme pour elle :

  • Poster un statut à son attention sur les réseaux sociaux, c’est rédhibitoire (62 %)
  • La peluche gagnée à une fête foraine : aucune chance de faire effet (60 %)
  • La déclaration enflammée dans un restaurant/lieu public : à éviter à tout prix (57 %)

Le pire du romantisme pour lui :

  • Accrocher un cadenas d’amour sur un pont (63 %)
  • Voir qu’un statut sur les réseaux sociaux leur est destiné ne les séduit pas non plus (60 %)
  • Et ces Messieurs s’agaceront également de la déclaration enflammée dans un restaurant ou un lieu public (56 %)

Ainsi les célibataires québécois suivent la tendance actuelle du tout privé. Pour vivre heureux, ils préfèrent vivre cachés et ce, surtout sur le web où la vie privée ne doit pas être entièrement dévoilée. Reste à noter que pour les Québécois, le romantisme est essentiel à la relation de couple : ils sont 97 % à affirmer que sans romantisme il ne peut y avoir de relation durable et 83 % d’entre eux affirment que « Non, on en fait jamais trop lorsqu’il s’agit de romantisme ! ».

Étude EliteSingles réalisée auprès de 680 célibataires québécois. (41 % de femmes / 59 % d’hommes)